« À l’approche de la journée internationale des femmes, nous voulons exprimer notre solidarité envers ces travailleuses et ces travailleurs des Couche-tard qui sont présentement en négociation.» de dire Marie France Ross, vice-présidente régionale du Conseil central du Bas-St-Laurent.
Les principales revendications demandées dans le cadre des négociations chez Couche-tard sont :
- Quatre journées de maladie ;
- Un bouton de panique en cas de vol à main armée ;
- Un suivi psychologique pour les victimes d’agression armée ;
- Des règles objectives pour l’octroi de postes et les choix d’horaire et de vacances ;
- Le respect des normes du travail et des lois sur la santé et la sécurité ;
- Une échelle salariale menant vers un taux horaire d’environ 12, 50 $ l’heure après quatre ans de travail pour les préposé-es.
Est-ce trop demandé d’avoir un minimum de respect de la part de l’employeur puisque nous sommes les artisans de son succès? Voici peut-être la question à se poser!
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